C’est un neveu, qui du haut de ses six ans, scandait (et ce n’est pas une plaisanterie) dans le salon de ses parents « one, two, three, on va laver l’Algérie), le soir de la victoire de l’Algérie ; c’est ce match de football contre les monarchies épaulées par les colons et leurs supplétifs, en coupe arabe de football, qui m’a donné l’énergie utile pour continuer à me mobiliser afin de lui ouvrir un peu la route de l’avenir bouchée par les reptiles.
Par Boualem Snaoui
Je ne peux pas me retenir, puisque j’ai même lu que Azzouz Begag, cet ancien ministre du système délégué à l’égalité de sa chance ratée, était venu tenter de couvrir la voix du peuple algérien avec son « mouton noir dans la baignoire » -Ed. Fayard, 2007-, pour canaliser les foules « One, two, three, viva l’Algérie ! »- Ed. E. Bonnier, 2019- vers un guet-apens politique. Le plus drôle, c’est que mon petit neveu est un jeune supporter de l’équipe des « Verts », alors que l’ancien ministre du régime, qui avait dénoncé le traitement colonial dont il aurait été victime, y compris en conseil des ministres du système, lui parle de l’équipe des animaux : « les Fennecs ». Azzouz Begag ne veut pas faire son « Hirak » ?
A chaque fois que tu tentes d’avancer, en installant un pied devant l’autre, pour échapper à l’obscurité politique fabriquée par les tenants des manettes, on te projette un lasso de boulets décoré de mains, pleines de doigts gluants, de reptiles (Hnoucha, Dhizermanes), pour t’accrocher au niveau des chevilles, et t’empêcher de te mouvoir dans le sens de la lumière de l’émancipation. C’est le théorème des croche-pieds de la politique du « donnant-prenant » construite par le système, pour la reproduction des classes, y compris au moyen des races.
Cette fois-ci, pour ne pas rater le train d’ablution des idées noires (construites par le vent qui souffle de l’Ouest, amplifiées par l’éolienne du « Dilem », danseur du bon régime des généraux de Tel Aviv qui bourre déjà les urnes avec du « Zemmour »), je voudrais revenir sur l’histoire du caméléon du film de Woody Allen, un reptile y compris en politique, dont l’idée de se mouvoir en bipède lui a effleuré un jour les neurones et même l’esprit.
Cette créature composite, qui a même été présentée comme un amphibien – crapaud fou-, par RTS (Radio Télévision Suisse) le 28 décembre 2016, a décidé de tenter de se redresser pour adopter une posture « debout », afin de marcher comme ces femmes et ces hommes résistant au vent du chaos de l’humanité orchestré par des mains de plus en plus visibles du « triangle des Bermudes ». Il a fini par se ramasser en crocodile de la politique, dans l’image et le fond de l’excellente contribution du professeur Abdellali Merdaci, sur les « effets directs et collatéraux » des écrits d’Ahmed Bensaada, dont je ne peux que conseiller la lecture aux révolutionnaires, aux vrais, et pas aux épiciers des plateaux de « presse » d’intox. Le professeur A. Merdaci a achevé le travail taxonomique de Linné, en rangeant cette étrange créature, et sa moitié, dans le véritable nouvel ordre mondial des poissons qui nagent dans les eaux troubles de la politique très sombre des puissants. Il est de gauche ce gars, comme sa dulcinée qui a voulu nous vendre les entretiens avec Louisa Hanoune, cette « défonceuse » des travailleurs, comme « une voie » pour l’Algérie, par le canal qu’on n’a pas découvert de François Gèze.
J’ai déjà eu l’occasion de disserter sur cet étrange « crapaud fou de RTS », qui respire le cannabis au-dessus et en dessous des eaux toujours troubles, en décrivant entre autres les bras longs de « son ami le roi » du haschich, lequel le porte aussi sur le plateau médiatique de Super Mario de « la radio de Momo » et de son pote toujours détenu d’opinion de RSF ; c’est celui qui collectionne de jolies appellations (« barbouze El Kadi », « tel père-telle fille mythologique », etc.) dans la mouvance des sous-marins politiques en Algérie. Comme il se présente en tant que personnalité publique, je ne pouvais alors me soustraire à l’obligation morale de contribuer, encore une fois, à faire connaître cette lumière incendiaire et proposer, pour lui faire honneur, le prix du spectacle politique que toute l’humanité attendait pour concurrencer la « palme d’or » : « le Zelig d’Or ».
J’espère qu’il appréciera mon dévouement tout en scandant tout de même :
« Le haschich ne passera pas » – No passaran ! –
sauf sur le plateau bancal de la radio de Momo, où défilent tous les reptiles des chaos sélectionnés en fonction du degré et de l’intensité des crampes de leurs neurones, vaccinés au royaume d’Israël, contre l’Algérie.
Ce membre de l’académie des reptiles plantés contre un peuple en route vers demain a donc eu une idée démocratique ingénieuse pour faire barrage à la République Algérienne en marche (et pas en arrière, comme celle du commandeur de France), lequel a découvert les embuscades mortifères que lui ont confectionnées les marchands de mort, en nous déclarant avec solennité son rêve de voir disparaitre l’éminent chercheur, le docteur Ahmed Bensaada, celui qui a détricoté les Filières Noires de Guy Konopnicki (Ed. Denoël-1996) en Algérie, en France et même dans le monde. C’est vrai que le docteur Bensaada l’a remis à sa bonne place sur l’échiquier des sous-marins d’abattage fabriqués par des mains chevronnées de plus en plus visibles.
Cette fatwa « pacifique », qui n’a rien à envier à celle des barbus des années de plomb qui faisaient circuler sous le manteau les noms des intellectuels algériens à abattre, est bien sûr un argument démocratique cérébral de taille dans un débat naturellement contradictoire. Il vient, l’argument et pas le porteur Luc Zelig, de dévoiler « l’avenir étincelant » qu’il a réservé à l’Algérie, après sa symphonie inachevée du 16 janvier 2021, chez Nicolas « Joli », en nous exposant l’agenda préparé dans les laboratoires des experts qui noient les peuples dans la misère, et transforment la terre en enfer. Il faut dire que sa symphonie, pour achever le peuple algérien, aurait bénéficié du soutien du Rosa Luxembourg Institute, comme l’annonce «Nicolas Joli ». Depuis quand sa monarchie est-elle de gauche ? Sans doute que c’est un « sucret du royaume », et on a dû rater la transition entre les défilés de l’extrême droite et ceux de l’extrême gauche au palais d’où s’est miraculeusement volatilisée Cendrillon.
Sur ce terrain de jeu politique, qui n’est en réalité qu’un marécage pour engloutir les citoyens innocents, cibles des balles empoisonnées lancées par ces sportifs serviteurs des colons, Luc Chaulet qui a réussi à inverser le nom du père en FIS (Front Islamique du Salut), aujourd’hui Omar Zelig, a finalement retiré clandestinement ses armes de guerre. C’est en répondant à un internaute, que cette personnalité « poublique » a expliqué : « qu’il s’agit, de trois lignes fb sur le ton provocateur habituel… ». Puisque c’est cela sa démocratie, c’est-à-dire une clochardisation de la société, alors j’aimerais en faire usage et la pratiquer juste un instant sur le même ton « provocateur », en espérant qu’elle ne sera pas noyée dans « la Baignoire Expérience » de Samir Toumi à Alger, en lui proposant :
« Si la fin du Hirak à la banane pouvait nous débarrasser de ses dommages collatéraux, type Zelig, Mouffok, la paranoïa et autres titulaires du « Zelig d’Or » du boulevard des manipulateurs-fossoyeurs, ça serait bien, et on continue à rêver, même avec les baïonnettes du régime de leur maîtres pointées sur nos têtes ».
Il s’agit, de trois lignes pas fb sur le ton provocateur, pour Omar-Luc, sa dulcinée et les résidents du boulevard des naufrageurs.
Profitant des vagues épidémiologiques du Covid Daoud 19, mais surtout des belles vagues brunes qui s’abattent sur nous, Ali Bensaad, le prétendant au prix de Luc Chaulet, a fait son apparition en surfer, sur une planche à trous, pour décrocher le « Zelig d’or ». Ce géo-stratège de l’époque Z (qui n’est pas à priori un « zémoroïde », comme le « Dilem » de la caricature de l’album néocolonial « Liberté »), dernière lettre de l’alphabet, comme tout le monde le sait, acteur politique principal, qui nous rappelle Yul Brynner, est en plein tournage dans les studios du canard des sanitaires (journal des emmurés, au titre inversé « liberté »). C’est peut être ce qui a inspiré ce chercheur, qui cherche beaucoup l’Algérie et son peuple, pour rendre publique sa trouvaille du « colon » et qualifier l’excellent éclairage du Professeur Merdaci, sur le « Zelig d’Or », de « déjection ».
C’est au moyen de ce vocabulaire tourné vers la recherche fécale, qu’on mesure un peu la taille mais surtout la mauvaise odeur de la science de guerre des puissants, celle qui organise, selon le collectif de chercheur.e.s et enseignant.e.s-chercheur.e. des 40 sociétés scientifiques : « Ce système … fondé sur des indicateurs quantitatifs, et favorise donc les chercheur.e.s qui publient le plus, parfois en utilisant des méthodes au mieux discutables (« sélection naturelle d’une mauvaise science »), au pire frauduleuses ». Pour traduire, c’est la fameuse politique du chiffre frauduleux, chère à Nicolas Starkozy, appliquée à la recherche scientifique en France.
Je ne connais pas son coiffeur, mais si c’est avec les ciseaux qu’il lui a coupé « les chevaux de Troie », qu’Ali Bensaad compte scier le Séquoia Géant Merdaci, alors là, il plante sa hache en bûcheron du dimanche. Il s’est complètement planté d’étagement de la végétation et même d’étage bioclimatique. Quant à ceux qui veulent glisser sur sa face la plus lisse et la plus brillante, ils ont déjà « pansé» à se chausser en godillots antidérapants, puisque même le « Barbouze El Kadi » ( à qui il apporte sa solidarité, sans doute pour colorier la toile du « Dilem » de la honte de toute l’humanité, tissée autour du peuple algérien) a affiché publiquement la voix de L’Anthropologue Yazid Ben Hounet sur sa radio de Momo, les employeurs de l’heureux promu au « Zelig d’Or » :
« travaille précisément sur des sujets susceptibles d’intéresser le Ministères français des Affaires Etrangères et celui de la Défense Nationale. Qu’il est en outre membre d’un centre de recherche – GEODE – (ici : https://geode.science/team/bensaad-ali/), partenaire du centre de recherche des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, relevant Ministère français de la Défense (ici : https://geode.science/partenariats/) et qu’il est membre d’honneur de l’association EUROMED-IHEDN (ici : https://www.euromed-ihedn.fr/ils-ont-ecrit.html), liée à l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale (en France). Comme écrit sur le site de l’IHEDN (ici : https://www.ihedn.fr/presentation-ihedn), ce dernier est un « Établissement public, à dimension interministérielle, placé sous la tutelle du Premier ministre (…). L’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) a pour mission de développer l’esprit de défense et de sensibiliser aux questions internationales ».
Tu as bien lu son CV ? Eh bien ce gars se dit victime des services secrets algériens, comme le rapporte la mare aux canards en Algérie, ce journal de formation au « printemps des arabes », à lire avec les pieds, où le « Hic » de l’info est un doigt d’honneur au peuple algérien, avec la Fourchetta –Fourchette- de Jacques Bénet. Il a du flair ce soldat de la société civile à trois pieds, de Jacques Bénet. Y a t-il une ressemblance « Total » avec Omar Belhouchet, l’ancien imam de ce lieu de prêche printanier?
Comme il appelle à « … éclairer le passé » -si tu peux donner un coup de main- alors on s’y emploie comme on peut, pour éviter de mourir en pigeons idiots du chanteur Renaud.
Je te laisse construire le parchemin de ce climatologue de Constantine, qui me semble attaché à confectionner les bulletins météorologiques du plan B, sachant que le plan A, avec les légumes et la banane, n’a pas marché. A ce sujet, tu as bien vu que les figurants du plan A ont été licenciés, sans indemnités, et même avec un grand déshonneur. Ils sont cons-finis.
Dans cette affaire du KD-où Drareni est un détenu d’opinion de RSF, Yazid Ben Hounet, qui à mon sens n’est pas spécialisé dans les jeux de géostratégie de lego des écoles maternelles, aurait qualifié les « méthodes de Ali Bensaad de mensonge et de désinformation en toute absence de morale et d’éthique ». Il l’a même rangé dans la profession de maraîcher, en précisant : « Que quand on a que la culture-pub comme référence à faire valoir, il n’est pas étonnant de ne raconter que des salades ? ». Ce n’est pas gentil pour les maraîchers.
Notre « Zelig d’or », homme de science du CNRS, ancien communiste en climatologie,
qui dénonçait la nomenklatura noyée jusqu’au cou dans l’affairisme effréné avec le capitalisme international, est donc un expert en géostratégie de blindage des murs entre les peuples. Il a levé les deux bras, et même les pieds, pour participer à la « Ola » politique déclenchée par OMacron, le nouveau variant de la pandémie de l’œuvre civilisatrice de l’autre rive de la méditerranée, qui fait tourner son « système » à plein « régime » dans les médias proclamés grands de l’hexagone.
Ce sont des pacotilles, comme il l’affirme, à propos de l’aide financière apportée par l’Algérie au peuple palestinien, qui semblent le fâcher : il n’a donc pas vu le plus important contrat d’armements jamais signé par la France au cours de la Ve République, de 16 milliards d’euros déboursés en « Rafales » par les Émirats Arabes Unis (EAU), pour nourrir les peuples au moyen des bombes guidées AASM de Safran. Les monarchies « arabes » sont si jolies !!!
Personnellement, je n’ai jamais vu une équipe nationale de football, ses supporters, son peuple, son état, ses dirigeants, qui jouent avec deux drapeaux : celui du pays, et l’autre du « Droit et de la Justice ». Tu vois pourquoi cela fait mal aux « panseurs » et leur système ? Ou tu veux une caricature bourrée « Hic » à trois pieds de Rosa Moussaoui ?
Dans son aventure de stratège politico-médiatique, ce héros de l’époque « Z » s’est même fait porte-parole des cercles du royaume qui affirmeraient la suprématie de l’Émir du haschich, après l’arrivée des généraux israéliens au palais. A ce sujet, il ajoute que « beaucoup de spécialistes concluent qu’Israël est déjà rentré dans le conflit », et pas en guerre. L’usage de l’expression « conflit », pour voiler « la guerre », n’augure rien de bon pour les peuples des deux rives, de la part de notre voyageur en cumulonimbus, ce nuage caractéristique des phénomènes orageux, également en politique. Avec le temps, je m’interroge sur le fait de savoir si le titulaire du « Zelig d’or » n’était pas la cible « Allègrement » de Claude, l’ancien éléphant du PS, connu sous le pseudonyme du Mammouth. Il émet l’idée de la conspiration entre sciences et politique sur la machination « qui a été élaborée autour d’un mythe créé de toutes pièces – celui du changement climatique en l’occurrence – afin de fournir à certains des financements dans le but de poursuivre leurs recherches » de guerre. Sur sa piste de jeux de bowling scientifique, il a une seule quille en ligne de mire : l’Algérie. Et bientôt, on aura peut être le droit à la fameuse théorie du réchauffement climatique, en lien direct et exclusif avec les pets des vaches algériennes, au regard de sa théorie sientifique du « colon ». Yazid Ben Hounet, dans sa dernière contribution censurée par le « journal des emmurés », le décrit précisément comme l’éolienne complotiste du « Dilem » du racisme, qui souffle depuis le royaume d’Israël.
Le plus drôle, avec cet entrepreneur du blindage des murs entre les peuples, c’est lorsqu’il affirme que l’Algérie est « isolée… », presqu’au moment où notre Jean-Yves « le prion », est allé solliciter le rétablissement des relations diplomatiques rompues par le commandeur algérien Tebboune, depuis le mois d’octobre 2021. En principe, pour nous éclairer, un géo-stratège devrait analyser l’absence de réciprocité dans ce cas de figure, puisque son régime aurait dû rappeler l’actuel ambassadeur de France à Alger, qui n’est autre que François Gouyette, celui qui officiait déjà comme ambassadeur de France en Libye, au moment de « l’abattage » de ce pays, et chez qui pointent les membres du gang «à la banane». L’Algérie est « isolée… », selon cet acteur du nouvel ordre colonial, au point d’interdire le survol de son territoire par nos avions militaires ! A ce sujet, on aurait dû d’ailleurs plutôt remercier les autorités algériennes de nous avoir épargné la mort des soldats français au Sahel, les cortèges funéraires et les deuils des familles en France. Mais bon, tout marche à l’envers.
Il aurait peut être pu analyser « la rente mémorielle » qui semble attirer son attention, comme celle de son régime politico-militaro-médiatique qui défile sur la tombe du Général de Gaulle, à Colombey-Les-Deux-Eglises en Haute Marne, pour le 51ème anniversaire de sa mort, le mardi 9 novembre 2021, décrite comme une « surexploitation dans tous les sens » par le politologue Olivier Dupéron. C’est le Général qui a dû se retourner dans sa tombe.
Il aurait aussi pu analyser l’effondrement des partis politiques en France, pourtant installés dans toutes les villes, et leurs remplacements par des personnages promus par le système, entraînant le glissement du débat public sur le terrain exclusivement identitaire d’extrême droite. Va choisir, un bulletin de vote à glisser pour éviter l’urne de couleur brune ! Notre « Zelig d’Or », qui a beaucoup d’humour, a trouvé la potion scientifique magique, puisque pour lui c’est l’Algérie qui « … porte une part de responsabilité dans ce glissement de l’opinion française », et pas le régime qui le biberonne. Elle n’est pas belle, sa trouvaille ? Il devrait la vendre au mouvement de la dynamique populaire qui appelle au boycott des élections en France, que « la presse » aux Gilets Jaunes, et pas aux citrons jaunes, n’a pas vu. C’est normal, ça ne se passe pas en Algérie, sinon ils auraient déjà prévu des légumes à l’entrée des bureaux de vote et des consulats, pour abattre les citoyens et les urnes.
Il veut nous faire croire que les islamistes, les berbéristes et les soldats de leurs sociétés civiles ont trouvé par hasard les portes ouvertes, lorsqu’ils se sont pointés chez les états-majors des partis politiques, des syndicats et des collectivités territoriales en France.
Si j’ai proposé le « Zelig d’Or » à notre acteur de cinéma Yul Brynner, c’est pour ne pas faire de jaloux, et équilibrer les titres avec cet ancien islamiste, K. Daoud 19, qui vient d’être décoré d’un nouveau titre à Paris par le « Comité Laïcité République », ne rigolez pas, celui de la laïcité 2020-21. Le jury a peut-être compté le nombre de coups et de blessures infligés à sa moitié, de celui qui a été condamné pour violences conjugales le 13 octobre 2019 par le tribunal correctionnel d’Oran (Algérie) à trois mois de prison avec sursis et 20.000 dinars d’amende, avant de le titrer de « laïque ». Il faut dire qu’il a été primé après que le gouvernement eut sifflé la fin de mission de l’Observatoire de la laïcité, dirigé par Jean Louis Bianco, en avril 2021. Tout vient par hasard, puisque ce dernier avait déclaré, « Il y a pas mal de gens qu’on dérange parce qu’on est indépendant, qu’on apporte une vue apaisée« . Il ne parlait pas de K.Daoud 19, non, non, non !
Tant que j’y suis, et pour me rendre toujours utile, si tu peux dire à K. Daoud 19, qu’il y a une faute d’orthographe au niveau du titre de sa dernière reptation de flagellation du peuple algérien, dans le canard des emmurés (celui qui avait organisé un complot à l’envers contre l’entraineur de l’équipe nationale de football, sous la plume éditoriale de Hassan Ouali, en date du 17/11/21, sous le titre de « Belmadi, le contre-exemple »). Il faut mettre la première lettre de l’alphabet « a », à la place du « e » dans le verbe conjugué à l’infinitif « penser ». Ce qui donne pour son texte à « colon » du « Zelig d’Or » : « Un seul héros celui qui – panse – contre le peuple ».
Une bonne et heureuse année, plein de soleil, d’amour, de fraternité et de ponts d’amitié entre les peuples. Que notre rêve se réalise, pour réduire en poussière celui des « Zelig d’Or » et de leurs collatéraux de la génération alphabétiquement dernière, comme de leur théorie du « colon » de l’horreur qui veut faire passer son projet voilé en bonheur.
Yal khawana « Maranach Habsine – Nous n’allons pas nous arrêter » – oulech smah, oulech
Par Boualem SNAOUI