C’est par respect à notre berceau culturel, et à une jeunesse baignée dans la tolérance, la politesse et la considération de ces femmes et de ces hommes qui nous ont libérés du joug de
l’injustice coloniale inhumaine, conduite par une armée sans aucune morale, qui a commis les pires crimes contre l’Humanité en Algérie, qu’on a évité d’intituler cette modeste
contribution avec un titre : « dénazificateur de l’Algérie pour dénazifier l’Afrique » ! Pourtant il serait tellement concret, avec les tenants de la politique de leur « RACE », inscrite dans
leurs gènes par Napoléon III au XIXème siècle, sous la direction de René Basset, directeur de l’école des Lettres d’Alger, créée en 1879, pour domestiquer les « Indigènes » récalcitrants
au gazage des grottes du Dahra par l’armée de la société civile menée par les généraux Bugeaud, Pélissier et Cavignac, dans le but de sélectionner une élite de lombrics, ayant pour
mission de catégoriser les peuples dans de jolies alvéoles spécifiques ethniques, afin de l’arrimer indéfiniment au système colonial de cette France de Michel « O’ »Frais du système »,
en déclin.
Par Mehdi Messaoudi
Pour comprendre l’aboutissement au terrorisme (du MAK) par le fascisme identitaire du berbérisme (brandi y compris par des dirigeants maliens), il est nécessaire de faire une rétrospective du maillage des galeries creusées scientifiquement par René Basset, sous Napoléon III, et porté jusqu’à nos jours par Salem Chaker (professeur « O » mérite à l’INALCO de Paris), une lanterne de la France coloniale, détenteur de la machine de production des QR-Codes et des codes barres pour les annélides « berbères », qui a fabriqué une lignée de terroristes dirigée par un « beau corbeau aux idées noires » appartenant à la grande galaxie du « berbérisme moderne ». Ils vont pouvoir nous identifier, nous vacciner et même nous éliminer grâce à l’intelligence artificielle de leur « parrain » : le beau régime des généraux de Tel Aviv, qui est en train de mettre en œuvre le génocide du siècle au moyen de cette nouvelle technique.
Il n’a échappé à personne que les légumes « Makaks » pourris sont issus de la même corbeille de réserve des « tubercules nains joyeux » des partis « boulitiques » rabougris de la « Race » berbériste, au service de la France coloniale ; il s’agit des fruits du travail de l’Académie « berbériste » (confectionnée en 1966) où les complots contre les peuples innocents sont le pain quotidien de ses membres civils, qui sont d’ailleurs presque tous des militaires. Il n’a échappé non plus à personne que ces groupes sont les métastases de la grande famille des cancers « berbéristes » coloniaux, inoculés au peuple algérien par l’armée française, que l’on retrouve dans les écrits :
- du colonel Daumas et du capitaine Fabre (1847) sur la « race kabyle » ;
- du capitaine Ernest Carette (1848) ;
- d’Henri Aucapitaine, plus connu sous le nom du « baron Aucapitaine » (1857),
- du général Édmond Pélissier de Reynaud (qui professait la fusion entre Européens et « Barbares kabyles »),
- et de l’amiral Louis-Henri de Gueydon pour qui l’avenir était dans « l’assimilation du peuple kabyle » et qui, auprès de ses supérieurs, a défendu avec conviction le projet d’une entité administrative purement kabyle dans laquelle serait appliquée la justice française.
Ne pouvant reproduire ici le large listing des soldats indigènes (tailleurs politiques de leur « Race » académique, bien-sûr exclusivement civile), pour le peuple algérien, nous pouvons néanmoins citer : Augustin Ibazizen, Youcef Achour, Rahmani Abdelkader, Hanouz Med Saïd, Naroun Amar, Mohamed Arkoun, Augustin Ibazizen, Youcef Achour, Khelifati Med Amokrane, Marguerite Taous Amrouche, Hamici Chabane (Hamid), Mina Charlette etc., sans oublier naturellement le héros « Arabe » Mohand Bessaoud.
Encore une fois, on ne va pas faire plaisir à l’Oranois « Ver de la Sous-France » du « matin pourrit d’Algérie » de Bencucu et de Hamid « l’Arabe », un « démoctateur » enrobé d’un vernis de « Race blanche », pour camoufler les idées brunes enfouies sous ses neurones allongés (du boulevard qui porte le même nom), au regard de ses menaces notamment sur le gagne-pain de militants propre pour affamer leurs familles, mais juste lui rappeler que ses méthodes vichystes nous renvoient justement à son ascendant politique ! Ce n’est autre qu’Augustin Ibazizen, converti catholiquement, mais surtout membre des fascistes des « Croix de Feu » de l’historien Zeev Sternhell, l’une des mains coloniale sous-marine profonde du berbérisme scientifique à l’école des « frisés » de « l’Arabe » Mohand Bessaoud, inventeur entre autre de la fourchette diabolique de Jacques Bénet et de l’Académie du « régiment Azov » des « barbares ». Pour rappel, ce « complotiste » en compagnie du Bachagha B., avec lequel il projetait d’attaquer l’Algérie dès l’Indépendance, était qualifié de populiste par Karima Slimani Dirèche, comme il était disqualifié auprès des partis politiques algériens (PRS, FLN, le PAGS et le FFS), comme il le rapporte lui-même, puisque considéré comme étant un “raciste”, un « hitlérien » et un “magouilleur”.
Augustin, Léon Ibazizen, un membre de l’ombre du berbérisme contemporain de l’académie de Jacques Bénet
L’un des ascendants contemporains des foreurs ethniques de la politique « berbériste », par conséquent celui de l’Oranois Boumediene, le « Ver de la Sous-France » (qui a aussi ses entrées dans le quotidien d’Oran de Daoud 19), n’est autre qu’Augustin Ibazizen, l’une des mains de l’ombre de l’Etat colonial profond. Augustin, Léon Ibazizen, a été bidasse de haut rang (sous-lieutenant le 1er mai 1919, capitaine en 1939 au 9ème régiment des tirailleurs algériens, décoré de la « croix de guerre » et fait « Chevalier de Légion d’honneur ») de l’armée de la société civile française, qui organisait à son domicile (comme le 14 janvier 1970) des séances printanières « barbares » pour les Algériens. Tout cela au bénéfice du « système » qui l’a propulsé en 1959 comme Conseiller d’Etat, sur recommandation de Robert Schuman, et qui sera admis à l’honorariat et présidera la Commission des marchés de l’État pour plusieurs ministères, dont celui le Premier Ministre, du Ministère de la Justice et des Affaires Etrangères.
Le parti fasciste des « Croix de feu » d’Augustin, Léon Ibazizen, dirigé par le colonel François de La Rocque dès 1931 (après le retrait en 1929 de son fondateur Maurice d’Hartoy) a été interdit par la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et milices privées, suite aux émeutes du 6 février 1934. Il poursuivra son travail pour l’Algérie-française dans le parti naissant (PSF : Parti Social Français) de son mentor La Rocque, et prendra des responsabilités importantes, puisqu’il présidera la « commission des affaires indigènes ».
Conseiller Général d’Alger Maison Carrée en 1949 (année où il a été décoré à titre militaire de « Chevalier de la Légion d’honneur) , il a été membre de l’Union Française en 1953 (organisation politique coloniale de la France et de son empire colonial, créée par la Constitution de la Quatrième République) et siègera, à partir de 1954 dans le parti politique catholique MRP (Mouvement Républicain Populaire), dont il sera à la fois membre du Bureau, et constamment réélu au Comité National. Nommé en 1959 par le général de Gaulle, sur recommandation de Robert Schuman, au Conseil d’État en service ordinaire, il y terminera sa carrière et sera admis à l’honorariat. Durant cette période, il est président de la Commission des marchés de l’État pour plusieurs ministères dont celui du Premier Ministre, le Ministère de la Justice et celui des Affaires Etrangères
Le peuple algérien, doit savoir que c’est Augustin, Léon Ibazizen (1897-1980), celui qui a écrit « J’ai deux patries: une patrie charnelle, qui est « ma Kabylie », et une patrie spirituelle et d’élection, qui est la France. », est cet officier militaire berbériste de la France coloniale, qui a introduit le fascisme politique identitaire, en Algérie, en créant la section « Croix de Feu » qu’il présidera dès le début en 1934, et organisera sa première réunion le 28 février 1936, à Maison-Carrée.
Sa fille, Anne-Elisabeth Ibazizen, a repris le flambeau de son père puisqu’elle donne des conférences avec l’extrême droite nostalgique de l’Algérie-française des « cercles algérianistes ». Tel père, telle fille.
Youssef Achour (1914-1992), lui, était un engagé dans l’armée française (1939_1940), désigné sénateur dans l’Algérie-française le 31 mai 1959 jusqu’à l’indépendance le 4 juillet 1962. Il a été désigné sous-préfet en France et a été décoré de l’Ordre du Mérite agricole.
Abdelkader Rahmani, ancien brigadier et instructeur dans l’armée française, il accédera au grade de sous-lieutenant le 20 octobre 1948 et sera promu lieutenant le 1er janvier 1952. Il sera décoré de la Légion d’honneur en 1956. Ce pacificateur « berbériste » qui ne voulait pas voir l’Algérie se libérer du joug colonial, a été promu capitaine en 1975, peut-être pour avoir contribué à sauvegarder la culture indigène en Algérie, sans les indemnités pécuniaires de rattrapage pour le « bon boulot » réalisé, puisque le Conseil d’État avait rejeté ses demandes salariales pour son service fait en 1977.
Amar Naroun (1906-1988), originaire de Larbaa Nath Irathen (Tizi-Ouzou), sera député indigène du second collège (Constantine) du 13 juillet 1952 au 1er décembre 1955.
Mahjoubi Aherdan (1921 ou 1924- 2020), officier supérieur de l’armée du royaume du hachich dès 1940, a été gouverneur de Rabat en 1956, et proche de Ahmed Réda Guérida, un ami intime de Hassan dos. Ce membre fondateur de l’Académie coloniale pour les « barbares » de Salluste (qui aurait soufflé l’idée de l’intelligence artificielle avec les « buchettes » de Jacques Bénet), n’est autre que l’ancien Ministre des bidasses, au château hanté par Bernard Lugan. Il a été aussi « sinistre » de l’agriculture marocaine (de 1964 à 1965) pour cultiver le Hachich pour le monarque, « sinistre » d’Etat chargé des Postes et des Télécommunications (1977) en prévision de « Pegasus », et « sinistre » d’État chargé de la Coopération (1981) pour préparer la normalisation avec le « beau » régime des généraux génocidaire de Tel Aviv. En 1990, leur « ami le roi » de Tazmamart le désigne à son Conseil des Droits de l’Homme pour représenter les bidasses, poste qu’il occupera jusqu’en 2011. Ils ont eu de la chance les « kakis » du Makhzen : grâce à Mahjoubi Aherdan, ils ne peuvent que faire partie de la galaxie des « armées coloniales les plus morales du monde » de BHL.
Mouloud Mammeri : aspirant de l’armée française, formé à l’Académie militaire coloniale de Cherchell, et refugié au palais de Momo 5, chez son « prolétaire » d’oncle : Mohamed Mammeri, intendant « Général » du palais de « Lala Selma au bois dormant ».
Comme on peut le constater, d’une part la « berbérologie » est une science fabriquée par le colonialisme français, et l’Académie des « barbaristes » est une officine de l’armée de la société civile, notamment avec à sa tête frisée Auguste Ibazizen et Mahjoubi Aherdan, le « sinistre » de l’attaque au Hachich et des « Droits de l’Homme ».
Nous savons que les « bebérologues », promoteurs du mythologique « berbéristan », ne sont pas contents de voir la vérité « cachée dans les trous » débouler comme un tsunami, pour balayer leur légende, construite sur la stratégie nauséabonde de la politique de leur « RACE » nazie ! Ils nous ont en effet poinçonnés dans les coulisses en « bovidés » avec Daoud 19, alors que nous avons été simplement covidés au vi-Russe de Poutine-mkine. L’Europe et ses « Parle-ments » refusant d’assumer, encore une fois, la paternité du nazisme, l’une de ses entreprises criminelles contre l’Humanité (à côté du colonialisme, de la traite négrière, de l’extermination des Amérindiens, de l’usage de la bombe atomique sur les populations civiles, du génocide cntre le peuple Palestinien…etc.), c’est par la voix génétique que Jean-Paul Mulders et Marc Vermeeren (à ne pas confondre avec Pierre Vermeren, l’autre « berbérologue » qui sait « Comment être barbare » avec Tassadit Yacine), nous ont greffé scientifiquement le joli code génétique Haplopgroupe E1b1b (Y-ADN) du Führer.
Alors, Monsieur Salem Chaker, vous le professeur « O’ mérite » à l’INALCO colonial parisien (détenteur de l’usine scientifique de production du code-barres et des QR-Code des brutes de Salluste pour les annélides barbares élevés dans les cavités identitaires de votre pote, le moine généticien Mendel Ferhat Mehenni), sommes-nous des nazis ? Ceci a dû vous être inspiré par les laboratoires coloniaux de la France-Maroc-Israël, et de vos partenaires de Riposte Laïque, d’Eric Zemmour, de W. Goldnadel, de Valérie Boyer, de Jacques Kupfer, de BHL, la LDH…etc, qui ont fait adopter le salut nazi pour les veaux que vous rassemblez dans la ronce-France. Cet agent, inventeur de la politique de votre « Race », s’apprêterait à fêter le complot printanier réservé aux détenteurs de votre QR-Code « berbériste », dans lequel vous êtes « Trumpé » jusqu’à la moelle ! Vous avez été en effet en 1980 un acteur majeur de ce coup de Trafalgar construit dans l’ « Académie de la fourchette » de Jacques Bénet à Paris. En effet, vous voyagiez dans le « bijou 204 » avec Mouloud Mammeri, l’aspirant de l’armée française biberonné chez l’oncle Mohamed Mammeri, l’Intendant « Général » du royaume du hachich de Mimi 5, l’ancêtre de l’ivrogne parisien Mimi 6 qui a livré le château au régime génocidaire des généraux de Tel-Aviv !
Hand Sadi, la main visible de Saïd Samedi Sadi
On ne connait pas les raisons pour lesquelles la main (Hand) de Saïd Sadi Samedi (SSS), est venue « conter » en 2024 la belle histoire de Mouloud Mammeri, l’inventeur des buchettes de Jacques Bénet, dans une édition en « bataille d’Alger », chez un éditeur « indigène » au service de la France coloniale. Il semblerait que les filtres médiatiques tissés autour de « l’histoire noire » de leur dadathsen (leur tonton) Mouloud Mammeri, commencent à s’effriter sous le poids de la vérité, depuis que le public a découvert que ce grand « berbérologue » est de la même lignée scientifique de la « Race » que le marocain Bernard Lugan. Pour ceux qui auraient raté le CV de ce berbériste penseur d’extrême-droite (royaliste membre de l’Action Française), compagnon de Jean-Pierre Stirbois, d’Alain Renault, de François Duprat et de Bruno Gollnish, il fut défenseur du colonialisme et de l’apartheid en Afrique du Sud, expert du « génocide Tutsi », où les massacres des populations au moyen de la haine raciale ont été soigneusement orchestrés. Le brun Bernard Lugan essaime comme du « chient-dent » dans la presse de son royaume de la débauche de la ville de Bousbir, de la pédophilie, du hachich et du bakchich !
La main (Hand) mathématique de SSS (Saïd Sadi Samedi), son frangin quoi, on va la retrouver dans la querelle de fourchettes de Jacques Bénet contre Salem Chaker, qui contestait sa désignation à la tête des « enseignements et épreuves de la berbérologie » pour les frisés moyens, auprès de la « Direction des enseignements scolaires » de la France coloniale. Il a porté plainte auprès de « la justice de l’hélicoptère » de Jacques Toubon (« all good » pour les initiés), et a fait voler en éclats les espoirs retrouvés de Salem Chaker, pour détenir le code barre des « barbares » de Salluste, qui avait déclaré à Catherine Simon, dans un article du Monde daté du 15 février 2005, que : « l’enseignement du berbère en France est aussi une affaire politique » ! Et de rajouter, en ne reconnaissant à Hend Sadi aucune compétence : « La principale qualité de Hand Sadi est d’être le frère de Saïd Samedi Sadi ». Et comme Salem Chaker détient les clefs du code barre de la génétique en politique des « barbares », pour lesquels il a creusé énormément de galeries souterraines avec ses contes et sa mythologie qui rapporte gros, il ne peut pas mentir sur la main (Hand) de Saïd Sadi Samedi. Et il enfonce la fourchette de Jacques Bénet dans les trous des « Vers de la Sous-France » de l’Ora-noix Lakhdar Boumediene, en précisant que le parti politique familial (des frères Sadi et du FIS junior-Ameziane) du RCD (Rassemblement Contre la Démocratie) est un parti indigène à « recrutement kabyle, très proche du pouvoir algérien, notamment de certains généraux ». Ce seraient les mêmes généraux qui ont exfiltré Amira DZ Bouraoui, en faisant appel à François Zimeray, l’un des membres du système colonial profond ?
La main (Hand) visible de Said Samedi Sadi (SSS), l’expert des mathématiques en génétique de la politique joue le « gentil » fanatique « berbériste », face au clan « méchant » du gourou terroriste du MAK, qu’il n’hésite d’ailleurs pas à défendre lorsque ces sauvages s’attaquent au peuple algérien. Cela rappelle les interrogatoires et les tortures menés par les officiers du 1er REP (Régiment Etranger de Parachutistes) de l’armée coloniale à la villa Sésini : Il y avait toujours un partage des rôles entre un gentil JM Le Pen et un méchant JM Le Pen.
Son rôle, comme celui de toute sa galaxie, est d’inférioriser le peuple algérien, de le tribaliser, de « l’indigéniser » et de « l’arriériser », afin que ses amis Makaks puissent mythologiquement « arianiser » la société. Si sa science de « bestialité », qu’il diffuse dans les galeries souterraines pour les lombrics frisés, était si progressiste qu’il le prétend, pourquoi ce « Lang » Co-matheux conseil de Jack n’a-t-il pas produit de calculs mathématiques avec les buchettes de Jacques Bénet ? C’est sans doute en cours de fabrication dans le laboratoire de la « Maison Kabyle » de Hanifa Cherifi, ou chez Mohamed Sadi et de Nacer Kettane, deux organes de désinformation de masse et de propagande du « Berbéristan », réservés à la promotion du parti « Croix de Feu » d’Augustin Ibazizen.
Sans vouloir lui demander la provenance des bobines de billets de banque sur lesquels est allongé confortablement son frangin (SSS) et sa suite génétique, en France, puisque ce sont des équations insolubles pour cet expert en mathématiques, il aurait au moins pu illuminer ses chromosomes et les allèles qui vont avec, provenant de Biskra!
Il va bientôt se confesser, en compagnie d’une série de personnages (Said Kaced, Madjid Boumelka, Hacène Hirèche) génétiquement identifiés « barbares » de Salluste, à « Cergy pour toise », le samedi 20 avril 2024, sur le complot berbériste de 1980, fabriqué à Paris par les « Bénetistes » dans leur académie. Parmi ces « panseurs » berbéristes prévus à ce rendez-vous de la fête à la Jacques Bénet, Hand Sadi prendra la parole conjointement avec Hacène Hirèche, le complotiste berbériste « Makak », celui dont la haine viscérale contre le peuple dégouline par sa voie buccale, notamment depuis le fauteuil des coupeurs de têtes au Kamis Akbar d’El Maghribia, démocratisés en France par l’Etat profond de la « Croix de feu » d’Augustin Ibazizen. Ils préparent les jeux olympiques de la politique avec les mathématiques de la « Race » crées avec Hand (la main) visible de Said Samedi Sadi, qui ont été reconnu par Eugène Guernier en 1950 : » le Berbère excelle dans le mime, il arrive à copier les gestes de tous les étrangers et de tous les animaux; bien plus il arrive même, sans connaître un mot d’une langue étrangère (lui qui n’est riche que de dialectes), à donner phonétiquement, l’impression qu’il la bredouille ».
C’est pour toutes ces raisons que nous sommes appelés à nous creuser les neurones pour comprendre les objectifs poursuivis par l’état Major des armées (d’attaques) françaises, qui a publié en date du 27 avril 2020 un tweet, montrant un bidasse à côté de plaques directionnelles, dont l’une d’entre-elles était dirigée vers l’Algérie mutée en « Berbéristan ».
Il faut dé-Makakiser l’Algérie et dé-Makakyser toute l’Afrique.