Le boss de l’Onu Ban Ki-moon, sort de son rôle dans la vidéo en dessous. Interviewé par France 24, il admet qu’il partage les doutes de la « communauté internationale » sur la volonté du président syrien Bachar al-Assad à se conformer pleinement à un accord sur les armes chimiques. C’est qui ou plutôt c’est quoi la « communauté internationale » ? À mon humble avis, c’est plutôt la « communauté internationale du mensonge ». Là, ça leur va comme un gant…
Oui, c’est un « crime contre l’humanité » mais, que ces gens cessent de nous enfumer. Presque 4 semaines après leurs « preuves » dont personne n’a vu la couleur, l’Occident s’accroche désormais comme une sangsue sanguinolente sur le rapport des enquêteurs onusiens avec, bien sûr, le mensonge, toujours chevillé au corps. Il nous demande de lire entre les lignes dudit rapport pour s’en convaincre. Mais, nous, nous attendons toujours des preuves factuelles et ça fait plus de 20 jours. Si les enquêteurs de l’Onu avaient la certitude que ce sont les forces gouvernementales qui étaient à l’origine de l’utilisation du gaz sarin, avec la dernière sortie du secrétaire général de l’Onu, ces derniers allaient le dire. Hélas, visiblement, tout accuse leurs protégés.
Depuis le 21 août 2013, nous sommes dans l’expectative. Obama a préféré ne plus parler de la Syrie ce jour, et, ce n’est pas un hasard. Aujourd’hui, c’est le 16 septembre mais, toujours rien à se mettre sous la dent. Au contraire même, à défaut de nous présenter quelque chose de factuel, pas des auto-proclamations et interprétations ridicules, ils nous rabâchent les oreilles avec leurs menteries.
Maintenant, on replonge dans la désinformation du début de ce conflit préparé à l’avance où, les soi-disant « rebelles »sont en guenille, et chaussés de « sans confiances » (babouches, claquettes) comme on dit chez moi au Cameroun. La presse mainstream, bien pensante, nous ressort sa prose morbide et mortifère pour condamner encore une fois le Gouvernement syrien. C’est une lapalissade. Pour cette presse donc, il est impossible que leurs rebelles aient utilisé les roquettes qui ont gazé les populations civiles.
Faut-il le redire ? Tout d’abord, ces gens armés par le Qatar et l’Arabie Saoudite (Golfe) plus l’Occident, ne sont pas des amateurs sortis de la cuisse de Jupiter, qui arrivent à tenir tête à une armée depuis plus de deux ans. Nombre d’entre eux ne sont-ils pas issus de l’armée arabe syrienne ? Ceux qui ont fait défection n’étaient pas seulement des hommes de troupes. Il y a des colonels, des capitaines, des généraux. Alors, tenter de nous faire avaler tout et n’importe quoi c’est insulter notre intelligence.
Ah, pauvre monde global ! Ils veulent nous façonner à leur image. Bientôt, ils vont faire passer le cheval blanc de Napoléon en âne gris et nous obliger à le dire sur tous les toits. Quand Lakhdar Brahimi, l’envoyé spécial de l’Onu pour la Syrie, qui a rempilé, demande aux opposants syriens de rejoindre la table des négociations de Genève II qui se prépare activement parce qu’il n’y a pas de solution militaire au conflit syrien, le régime français, soubrette des États-Unis, tente, lui, de pilonner honteusement la paix.
Le boss de l’Onu Ban Ki-moon, sort de son rôle dans la vidéo en dessous. Interviewé par France 24, il admet qu’il partage les doutes de la « communauté internationale » sur la volonté du président syrien Bachar al-Assad à se conformer pleinement à un accord sur les armes chimiques. C’est qui ou plutôt c’est quoi la « communauté internationale » ? À mon humble avis, c’est plutôt la « communauté internationale du mensonge ». Là, ça leur va comme un gant…
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Source : allainjules.com