L’envers du décor syrien…
Selon le journal "Al-Arabi", cité par le magazine en ligne CONTRAINJERENCIA, le leader de l’«Armée syrienne libre» est un colonel «étasunien» du nom de Cleveland.
Présenté comme le responsable de la formation de cette armée, dans des camps turcs, et à Arbil, en Irak, il est le véritable dirigeant de cette armée. D’autre part, les Salafistes disposent de milices entrainées, elles aussi, par des instructeurs étasuniens, dont l’objectif est de créer des «zones libérées», sur le modèle de Benghazi, en Libye, à Daraa, dans le Sud syrien, et à Jisr Al Shughour, dans le Nord. Enfin, il signale que la page "Facebook", "révolution syrienne", est animée par un groupe, créé, à Bruxelles, et lié au site "SHAAM* (en anglais et en arabe), équipé de matériel de communication sophistiqué, directement, alimenté en données, par les satellites US. Bien entendu, comme l’indique le texte de présentation du site Shaam, tout ceci est le fait de «patriotes» syriens.