En guise de diversion et de rideaux de fumée, Rafik Khalifa dépose plainte contre tous ses proches, famille, collaborateurs y compris ceux mis en cause dans le volet français, selon un rapport de la gendarmerie nationale algérienne révélé hier par un organe algérien arabophone « Echorouk on line ».
A noter, qu’encore une fois Rafik Khalifa travestit la vérité l’adaptant à ses « besoins » du moment, comme pour ses ex-colloborateurs Sakina Taibi, Mohamad Nanouche, Krim Smail Kamal, Amine Chachoua, les accusant d’enrichissement au lendemain de sa faillite, zappant sciemment les « cadeaux » qu’il a fait à chacun des quatre premiers sous forme d’appartements;
Ces fidèles serviteurs, avait vendu les bien offerts par leur patron, pour acheter des commerces afin de « survivre » les années de procédures en France, ce que Khalifa ignore de mentionner dans sa plainte, se contentant de parler des commerces achetés avec des fonds de la banque, et non de l’origine des fonds qu’il a pourtant revendiqué haut et fort devant les polices françaises et anglaises lors de ses auditions en Angleterre.
A contrario, alors qu’il « enfonce » la famille Amirouchène, du nom de sa « vraie/fausse ex- épouse » et cousine germaine Nadia Amirouchène, cette dernière est pour une fois épargnée: lors du procès en France, Khalifa était allé jusqu’à accuser son épouse d’avoir abusé de sa confiance en inscrivant en son nom propre et non au nom de l’établissement payeur « Khalifa Airways », un des deux appartements de l’avenue de la Bourdonnais dans le 7ème arrondissement de Paris: bien qu’elle l’ait revendu en plein période d’instruction par la Justice française, Nadia Amirouchène a été relaxée par la 14ème chambre correctionnelle du tribunal d’instance de Nanterre.
C’est vers ce « divorce » fort opportun pour son timing et ses conséquences qui ne peuvent qu’être favorable à « l’ex-couple », sa progéniture, que se retournent désormais les regards ces derniers temps.